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Il faudrait considérer son travail
comme un tâtonnement perpétuel,
une succession de recherches.
Il faudrait ne rien forcer,
ne rien vouloir, ne rien attendre.
Il faudrait ne pas penser avant d’agir.
Il faudrait donner du sens
ou bien arrêter d’en donner.
Il faudrait ne pas avoir à expliquer
ce que seule la peinture exprime.
Il faudrait s’extraire, n’être plus rien.
Seulement voilà …
Thierry Savini |